Il faut savoir que le chiot, jusqu’à l’âge de deux semaines, passe son temps à manger et à dormir ; vers le treizième jour (à un jour près) il ouvre ses yeux, mais ce n’est que vers le dix-huitième/vingtième jour qu’il commence à explorer et à découvrir le monde extérieur, car c’est à cette période qu’il développe ses capacités visuelles et auditives. Dès lors, le chiot commence à tout examiner avec son nez et à échanger des coups de langue avec ses frères. Ce moment est important car il détermine sa vie sociale à venir et son futur équilibre psychique.
La période qui sépare ses trois semaines de ses trois mois est le moment idéal pour ce que l’on appelle « l’IMPRINTING », un terme anglais qui signifie imprimer, laisser l’empreinte, prendre forme et, par extension, éduquer, former. Konrad Lorenz, l’un des fondateurs de l’éthologie, fut le premier à parler d’IMPRINTING.
Ses études sur plusieurs oies lui ont permis de découvrir que celles-ci, aussitôt après leur naissance, assimilaient leur mère au première personne en mouvement qu’elles voyaient. Selon Konrad Lorenz, l’IMPRINTING est le moment critique où un petit apprend à reconnaître ce qui distingue l’espèce à laquelle il appartient, et par conséquent ses parents et ses « amis », autrement dit tous ceux qui l’entourent pendant ce laps de temps précis et qui laissent une empreinte dans son appareil réceptif.
La période de l’IMPRINTING varie d’une espèce à l’autre. En ce qui concerne le chien, cette période que l’on appelle « IMPRINTING » est également dite période de « socialisation primaire », ou encore « période sensible », car le sujet imprime les expériences rapidement et de manière indélébile.
Pendant la période sensible, le chiot s’habitue aux objets, aux endroits, aux personnes et aux différent stimulis qui vont former en lui une sorte d’héritage culturelle, qui vont devenir des acquis.
L’éleveur ou le propriétaire d’un chien doit impérativement savoir quel comportement adopter pendant cette délicate période : il faut donner au chien la possibilité de jouer tous les jours avec nos mains, il faut manipuler et le caresser, pour qu’il devienne un adulte particulièrement heureux d’être en contact avec l’être humain.
Ce contact tactile est extrêmement important, de même qu’il faut encourager le chiot à faire des expériences positives, à entrer en contact avec son environnement, avec d’autres personnes, d’autres chiens et d’autres animaux, avec la nourriture.
Cette méthode est la seule qui lui permette d’établir plus tard une relation sereine, confiante et harmonieuse avec son nouveau maître et elle est la seule qui lui permette de devenir un chiot équilibré.
Parallèlement la mère et les frères ont une grande influence sur l’éducation du chiot ; ce dernier apprend, à travers ses premiers jeux, à se comporter avec les autres, à interagir avec eux et à connaître les limites qu’il ne faut pas franchir.
La période qui sépare ses trois semaines de ses trois mois est le moment idéal pour ce que l’on appelle « l’IMPRINTING », un terme anglais qui signifie imprimer, laisser l’empreinte, prendre forme et, par extension, éduquer, former. Konrad Lorenz, l’un des fondateurs de l’éthologie, fut le premier à parler d’IMPRINTING.
Ses études sur plusieurs oies lui ont permis de découvrir que celles-ci, aussitôt après leur naissance, assimilaient leur mère au première personne en mouvement qu’elles voyaient. Selon Konrad Lorenz, l’IMPRINTING est le moment critique où un petit apprend à reconnaître ce qui distingue l’espèce à laquelle il appartient, et par conséquent ses parents et ses « amis », autrement dit tous ceux qui l’entourent pendant ce laps de temps précis et qui laissent une empreinte dans son appareil réceptif.
La période de l’IMPRINTING varie d’une espèce à l’autre. En ce qui concerne le chien, cette période que l’on appelle « IMPRINTING » est également dite période de « socialisation primaire », ou encore « période sensible », car le sujet imprime les expériences rapidement et de manière indélébile.
Pendant la période sensible, le chiot s’habitue aux objets, aux endroits, aux personnes et aux différent stimulis qui vont former en lui une sorte d’héritage culturelle, qui vont devenir des acquis.
L’éleveur ou le propriétaire d’un chien doit impérativement savoir quel comportement adopter pendant cette délicate période : il faut donner au chien la possibilité de jouer tous les jours avec nos mains, il faut manipuler et le caresser, pour qu’il devienne un adulte particulièrement heureux d’être en contact avec l’être humain.
Ce contact tactile est extrêmement important, de même qu’il faut encourager le chiot à faire des expériences positives, à entrer en contact avec son environnement, avec d’autres personnes, d’autres chiens et d’autres animaux, avec la nourriture.
Cette méthode est la seule qui lui permette d’établir plus tard une relation sereine, confiante et harmonieuse avec son nouveau maître et elle est la seule qui lui permette de devenir un chiot équilibré.
Parallèlement la mère et les frères ont une grande influence sur l’éducation du chiot ; ce dernier apprend, à travers ses premiers jeux, à se comporter avec les autres, à interagir avec eux et à connaître les limites qu’il ne faut pas franchir.